Matera - copyright 2021
Matera : la bête noire des syndics de copropriété
Depuis 2017, cette entreprise bouscule le vieux monde des syndics de copropriété avec un objectif : redonner le pouvoir aux copropriétaires.
Une approche de la copropriété bien différente de celle des syndics professionnels traditionnels
En moyenne, les copropriétaires clients de Matera économisent jusqu'à 30% sur leurs charges de copropriété et jusqu'à 50% sur les honoraires de gestion.
Advertorial
Aux origines de Matera : de nombreux copropriétaires mécontents de leur syndic.
Une levée de fonds qui accélère l’ouverture à l’international de Matera
ENTREPRISES / PORTRAITS
Raphaël Di Meglio - Fondateur de Matera - 2021
Les fondateurs de Matera ne souhaitaient surtout pas être un cabinet syndic de copropriété de plus, qui aurait fini par rencontrer les mêmes difficultés que ses pairs. Au contraire, ils croient en la capacité de tous les copropriétaires à gérer eux-mêmes leur copropriété. L’entreprise s’appuie donc sur un modèle de gestion différent et encore peu répandu : le syndic coopératif.
Pourtant, ce modèle est bien prévu dans la loi du 10 juillet 1965 qui fixe le statut de la copropriété des immeubles bâtis. Il s’agit d’un modèle de gestion non-professionnel où plusieurs copropriétaires forment le conseil syndical et gèrent eux-mêmes la copropriété.
Matera a décidé d’accompagner les copropriétés en syndic coopératif via deux leviers :
Une équipe d’experts dédiés aux sujets plus techniques de la copropriété tels que le juridique, la comptabilité ou encore les travaux.
Et c’est toute la nouveauté que propose Matera : une vision différente et nouvelle du monde de la copropriété.
En s’appuyant sur le syndic coopératif, Matera permet alors aux copropriétaires de reprendre le contrôle de leur copropriété.
L’entreprise ne cesse de grandir depuis ses débuts : elle compte aujourd’hui 150 collaborateurs contre seulement 36 en 2020 et a récemment réalisé sa troisième levée de fonds d’un montant de 35 millions d’euros, destinée à accélérer l’entrée sur le marché allemand.
Matera, désormais valorisée à 120 millions d’euros, veut garder le cap : proposer une alternative aux syndics professionnels et maintenir un taux de satisfaction de ses copropriétés clientes aussi élevé. En effet, le Net Promoter Score (mesure de satisfaction allant de - 100 à + 100) de Matera est situé à + 47 tandis qu’il est en moyenne de - 46 pour les syndics traditionnels. “Peu importe l’argent, le plus important reste la satisfaction de nos clients”, confie Raphaël Di Meglio. “Cet indicateur est particulièrement important pour nous puisqu’il guide les différentes équipes de Matera, l’objectif étant de le faire grimper encore plus, signe que les copropriétés clientes sont entièrement satisfaites de notre accompagnement”.
L’ambition et la mission de Matera restent donc les mêmes depuis le début : accompagner les copropriétaires dans leur quotidien et leur apporter une vision experte du métier.
Comme beaucoup d’entreprises, c’est en faisant face à une difficulté que Raphaël Di Meglio, son fondateur, va avoir l’idée de créer Matera (à l’époque appelée Illicopro). En achetant son premier appartement, il constate que le montant de l’appel de fonds de la copropriété est particulièrement élevé, mais surtout, qu’il y a un manque cruel d'informations quant à la destination de cette somme et un manque de réactivité lorsque le syndic est sollicité.
C’est alors en étudiant le marché des syndics de copropriété que Raphaël Di Meglio et ses associés, Victor Prigent et Jeremy Krebs, se rendent compte que le système actuel ne fonctionne pas. Les copropriétaires sont mécontents des honoraires élevés qu’ils paient en échange d’une qualité de gestion qui se dégrade, et les syndics professionnels pointent du doigt un nombre grandissant de copropriétés à gérer entraînant une diminution du temps à leur consacrer. Pour eux, cela doit changer.
C’est à partir de ce constat que Matera (ex Illicopro) voit le jour en 2017.